Band Meeting

Un regard complet sur le tableau d'honneur des championnats européens. A tout seigneur, tout honneur : la Liga. Le Barça avait plié le championnat après leur 6-2 sur la pelouse de Bernabeu. Avec le doublé coupe-championnat en poche, ils sont la preuve vivante que le football offensif est un football qui gagne (Domenech si tu m'entends..). Le Real ne s'est jamais remis de l'humiliation pré citée. Ils terminent la saison avec cinq revers qui ne leur ont pas fait perdre leur 2e place synonyme de Ligue des Champions. Florentino Perez, l'ex-futur président des Merengue, a du pain sur la planche pour que son équipe y dépasse enfin le seuil des 8e de finale. La défense est à cimenter après le retour de Cannavaro à la Juve et devra compter sur le retour d'un Pepe qui saura garder ses nerfs. Même si Zidane, conseiller du président, devra user de toute son influence pour attirer les gros poissons du marché (Ribery, Kaka, Ronaldo ?), l'effectif a pourtant belle allure.

Le romantisme est de retour au sommet de l'Europe du foot. Au coup d'envoi, on craignait que les absences pèsent lourd dans l'équation du match : une défense de Barcelone totalement remaniée, sans Abidal et Daniel Alves et avec Iniesta et Thierry Henry de retour de blessures. Pendant 9 minutes, les doutes ont subsisté. Manchester imposait le défi physique et Cristiano Ronaldo eut les occasions pour permettre à son équipe de prendre l'avantage. Puis, le Barça a mis en action le cocktail technique et collectif sur lequel Guardiola se repose depuis le début de la saison : pressing, récupération haute du ballon, prise d'initiative d'Iniesta dont le ballon colle au pied, passe millimétrée, débordement d'Eto'o, enchainement dribble court/frappe forte dans la foulée. A partir de là, les Mancuniens se sont heurtés au schéma tactique des Barcelonais dont la maitrise du ballon était insolente. La défense tient le choc et les magiciens n'ont plus qu'à enfo

Ross Ching est un jeune photographe connu grâce à ses paysages " eclectic ". Il illustre le Little Bribes des Death Cab from Cutie avec une certaine maestria dans le stop motion. Death Cab for Cutie - Little Bribes from Ross Ching on Vimeo .

Puls'art est le salon d'art contemporain qui a lieu tous les ans au Mans. Quelques coups de coeur pour de jolies oeuvres : Estelle Lagarde : www.estellelagarde.com Tibo Streicher : http://librepoint.over-blog.com/ Armel Jullien : http://www.armeljullien.com/ Pilou Souchères (qui revisite mai 68) Gaelle Wessberg (des sculptures qui ne dépareilleraient pas dans le salon d'Adam Jones) Tous les artistes ici

Dix ans ! Dix ans que je n'avais pas mis les pieds à l'Olympic de Nantes. Une éternité depuis ce show de Fear Factory de la tournée Obsolete (avec Cubanate et Will Haven). Déjà à l'époque, j'occupais le premier rang du balcon bénéficiant d'une qualité de son optimale. Ce retour s'annonce moins remuant et plus poétique grâce à la délicieuse Natasha Khan aka Bat for Lashes. L'univers du groupe propose un "fairytale" folk teinté d'une "touch of evil". Ainsi, dans un public plutôt Telerama, quelques metalheads côtoient de jeunes hippies. La scénographie est toute aussi sophistiquée et hétéroclite : des guirlandes à paillettes aux têtes de biches, d'un portrait de husky aux statuettes de la Vierge Marie. Au milieu de ce reliquaire, sont disposés micros, keyboards, batterie, percussions ainsi qu'un certain nombre d'instruments vintage et improbables qui auront tous leur importance au cours du show. Dès l'entame du concert su

http://www.timelooptheory.com/the_timeline.html

Pour un prime looké par Jean Paul Gaultier, Manoeuvre avait sorti le t-shirt Mötley Crüe. Bon présage ? Sans aucun doute. Soan, en rock hero, couple classe et décadence !

Diablo Cody meets Toni Collette. L'auteur de Juno et la mère de Little Miss Sunshine . Le meilleur du ciné indé produit par Steven Spielberg. Si les principaux networks américains se reposent sur leurs valeurs sûres : Lost , Desperate Housewives (ABC), 24 (Fox), The Office , Heroes (NBC) ou encore Two and a half men (CBS), les chaînes câblées restent les plus créatives. Avec cette nouvelle série, Showtime s'affirme une fois de plus face à sa concurrente du câble, la mythique HBO. Si cette dernière garde la main en fresque historique ( Rome face aux Tudors ) ou en comédies ( Entourage et Flight of the Conchords ), Showtime grignote de plus en plus le buzz grâce à Dexter , Californication et donc United States of Tara . Cette nouvelle série US se base sur le personnage de Tara victime d'un trouble dissociatif de personnalité. Au gré de ses émotions, cette mère de famille aux faux airs de Lynette Scavo devient Alice, une puritaine qui ferait passer Bree Van De Kamp po