Braquo (bis)

La première impression était livrée à chaud. Après huit épisodes, le sentiment est encore plus positif. Le seul regret est justement que Canal n'ait diffusé que huit épisodes. Au niveau de l'investissement, Marchal a déclaré avoir eu l'impression d'avoir fait deux films. En tout cas, il ne semble pas épuisé car il s'attelle à la saison 2. Le cliffhanger de la saison 1 ne lui laisse de toute façon pas le choix. Comme souffle Mouss, c'est la crise : "on prend les mêmes et on rempile".

Il ne peut y être autrement. Tout est réuni autour de personnages pour lesquels on commence à apprivoiser les failles (on retrouve d'ailleurs la problématique familiale comme dans The Shield) mais toujours au charisme très convaincant. Un quatuor d'élite pris dans leur quadrature du cercle, dans la petite couronne parisienne.

Cerise sur le gâteau, une bande son sobre mais vraiment pertinente, d'Erwann Kermovant dont voici les quelques notes du générique.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

La Ligue 1 aux Girondins

Damien Hirst - Treasures from the wreck of the Unbelievable - Venezia

Lady Gaga - Stade de France - 22/09/2012